Les actualités
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Assemblée générale de Secticide Attention, contrairement à ce qui est annoncé ci-dessous, l'assemblée générale aura bien lieu le vendredi 19 janvier |
Si dans le cadre de la prévention « dérives sectaires », le monde de l’emprise et les conduites à risque sont largement cités,
comment sortir du système d’aliénation et se reconstruire est rarement évoqué. L’une des missions que s’est donnée SECTICIDE étant d’apporter aide et soutien aux victimes directes et collatérales des dérives sectaires, il lui appartient, suite aux difficultés exposées dans les témoignages des « –Ex », de sensibiliser aux comportements susceptibles de leur faciliter cette étape de reconquête de la Liberté et de retour à la vraie Vie. A cet effet, SECTICIDE propose, à l’occasion de la tenue de son assemblée Générale statutaire, un temps d’échange et de réflexion auquel elle se fait un honneur et un plaisir de de vous convier sur le thème : " Comment les victimes d’emprise sectaire parviennent-elles à reprendre le contrôle de leur vie ? De quelles ressources disposent-elles pour se reconstruire ? " |
Sur les événements dramatiques en Ukraine : Lucienne de BOUVIER de CACHARD, Présidente de SECTICIDE est aussi Secrétaire Générale Adjointe de la FECRIS, et communique cette Déclaration de prise de position de la FECRIS sur les événements dramatiques en Ukraine |
Méditation de Pleine Conscience Une énorme victoire : Jean-Michel Blanquer dit non à la Méditation de Pleine Conscience dans les écoles ! Février 2021 SECTICIDE a été signataire de la LETTRE OUVERTE au Ministrre de L'Education Nationale |
SECTICIDE ASSOCIATION LOI 1901 N° SIRET:81266104900013/ N°APE: 9499Z PRÉVENIR ET COMBATTRE LES DÉRIVES SECTAIRES PORTANT ATTEINTE A LA DIGNITE HUMAINE Aux Adhérents, Amis et Soutiens de SECTICIDE le VENDREDI 11 SEPTEMBRE 2020 de 18h00 à 19h00 à la salle des fêtes de BELLEVILLE SUR MEUSE-55430 21, rue du Général de Gaulle L’accueil se fera à partir de 17h30 avec masque obligatoire lors de la circulation dans la salle. Chaque participant inscrit disposera d’une place assise, avec table assurant le respect des distanciations. A l’issue de la réunion, un apéritif dînatoire est envisagé, servi à la place pour un moment de détente conviviale. Seront mis à disposition, et envoyés pour les personnes empêchées, des Dossiers thématiques élaborés en substitution des panneaux informatifs et des interventions ciblées. L’ordre du jour sera communiqué fin août avec toutes précisions utiles. En plus de cette crise sanitaire, les associations de prévention et d’aide aux victimes des dérives sectaires doivent faire face à la « placardisation » de la MIVILUDES (Voir Marianne N°1219 du 24 juillet 2020) ; mais, il l’a promis, le Commandant François TRICHET, intervenant très apprécié lors de la célébration du 25ème anniversaire de SECTICIDE, reviendra parmi nous quand ce sera possible. Nous comptons sur votre soutien et vous souhaitons de bonnes et reconstituantes vacances. Lucienne de BOUVIER de CACHARD, Présidente de l’association SECTICIDE
4, Allée du DIEU du TRICE 55 100 VERDUN Tél. 03 29 86 30 32 Courriel : secticide1@orange.fr Site internet : http://secticide.pagesperso-orange.fr |
Emprise sectaire et réseaux
sociaux, les nouveaux dangers Le
congrès annuel de la Fédération européenne des centres de recherche et
d’information sur le sectarisme (Fecris) s’est tenu à
Paris le vendredi 17 mai sur le thème « Combattre l’emprise sectaire sur
les réseaux sociaux » · La Croix · Hadrien Genieys, · le 21/05/2019 À
l’occasion de son congrès annuel qui s’est tenu à Paris le vendredi 17
mai, la Fédération européenne des centres de recherche et d’information sur le
sectarisme (Fecris) a évoqué les nouveaux dangers
liés au développement des réseaux sociaux. De nouvelles stratégies de recrutement La
série de conférences s’est ouverte sur la présentation du cas édifiant de
Patricia Aguilar. La jeune Espagnole de 16 ans avait rejoint un groupe
Facebook nommé « Vida Paranormal » et était tombée sous l’emprise
d’un gourou, qui après avoir régenté son existence à distance pendant
deux ans, l’avait convaincue de quitter sa famille pour rejoindre sa
communauté au Pérou. À
l’heure du numérique, les techniques traditionnelles de recrutement ont laissé
place à de nouvelles stratégies de séduction qui abondent sur la toile,
conférant au phénomène sectaire un visage inédit. « Des groupes
protéiformes se créent via les réseaux sociaux, parfois des individus seuls
utilisent de multiples profils et adresses mails », affirme Anne-Marie
Courage, conseillère à la Mission interministérielle de vigilance et de lutte
contre les dérives sectaires (Miviludes). Elle
souligne certaines spécificités propres à l’usage d’Internet susceptibles
d’accélérer le processus d’isolement favorable à l’emprise sectaire, comme le
risque de confusion du monde réel et du monde virtuel, la durée d’exposition
massive, entraînant une perte des repères spatio-temporels, la trop grande
facilité des moyens de paiement, la possibilité de se filmer chez soi et de
créer une véritable intimité à distance, etc. Le Web contaminé par le conspirationnisme Luigi
Corvaglia, un psychologue italien, s’alarme que,
outre les agissements de sectes bien spécifiques sur les réseaux, il existe
tout une culture Internet attribuant des « interprétations magiques à
des événements ». « La toile permet de construire des théories
délirantes qui prennent une envergure mondiale. Le paradoxe c’est qu’à l’ère
technologique, il y a un réveil de la pensée magique », ajoute-t-il. De
son côté, Tristan Mendès France, qui enseigne les cultures et les usages
numériques à l’Université Paris-Diderot, s’inquiète de ce que les réseaux
sociaux soient devenus « la porte d’entrée privilégiée de l’information
et donc l’espace de fabrique de l’opinion ».
Il met en cause le rôle des algorithmes de Facebook et de YouTube, « aveugles
à la qualité de l’information », qui donnent « une visibilité
à des contenus marginaux ». Le problème de cette sélection de
l’information qu’opèrent les algorithmes est qu’elle enferme l’utilisateur dans
une « chambre d’écho où son opinion est renvoyée tout le temps »,
contribuant à faire de ces réseaux de véritables « incubateurs de la
radicalisation », des lieux où « se polarisent les groupes
idéologiques » et où ainsi « se concentre et se propage la
haine ». Sensibiliser les gouvernements européens à la question des dérives
sectaires Créée
en 1994 à Paris, la Fecris regroupe des associations
de 32 pays, essentiellement européens, d’information sur les phénomènes
sectaires, de défense des victimes et de lutte contre les dérives. Chaque année
se tient un colloque dans un pays différent, afin de sensibiliser les gouvernements
et les instances européennes. La présidente de la fédération déplore que seuls
la France, la Belgique et le Luxembourg aient, à ce jour, adopté une loi
punissant les abus de faiblesse. Didier Pachoud,
trésorier de la Fecris et président et fondateur du
Groupe d’étude des mouvements de pensée en vue de la protection de l’individu (Gemppi), se félicite que la France soit motrice dans le
domaine de la lutte contre les dérives sectaires. « Cela tient à notre
culture de la laïcité, qui est une exception mondiale. Ici, la matière
religieuse n’est pas sacralisée comme elle peut l’être ailleurs et de manière
fondamentale la protection de l’intégrité des personnes prévaut en justice sur
les prétextes religieux ». |
Voir programme ci-dessous |
Communiqué de France 5: MERCREDI 20 SEPTEMBRE À 20h45 EN DIRECT Médecines complémentaires : quelle place à l’hôpital ? Acupuncture, hypnose, homéopathie, Qi gong… Longtemps décriées, les médecines complémentaires s’implantent durablement dans les hôpitaux français. Mais le manque d’études prouvant leur efficacité et le risque de dérives sectaires inquiètent. Utilisées pour soulager les douleurs, alléger les anesthésies ou réduire les effets secondaires des médicaments, ces techniques sont plébiscitées par les patients. Actuellement, plus de 15 thérapies alternatives différentes sont pratiquées dans nos hôpitaux. À Saint-Malo, des opérations sont réalisées sous hypnose. À Strasbourg, l’équipe d’obstétrique utilise les aiguilles d’acupuncture au cours de l’accouchement. Quant à l’homéopathie, elle est employée au CHU de Lyon pour diminuer les effets secondaires des traitements. Sans pour autant rejeter la médecine classique, de plus en plus de patients choisissent de se soigner autrement. On estime ainsi que 60% des malades du cancer ont recours à ces techniques. Mais cet engouement suscite des résistances au sein du monde hospitalier. Pour certains médecins, « les croyances ésotériques » et autres « poudres de perlimpinpin » n’ont rien à faire à l’hôpital tant que leur efficacité n’a pas été démontrée scientifiquement De son côté, l’Académie de médecine alerte face au risque de dérives sectaires de ces pratiques notamment dans le traitement du cancer. Pourquoi est-il si difficile de mesurer l’efficacité des médecines complémentaires ? Existe-t-il des risques à les utiliser ou à trop leur faire confiance? Quels profits la médecine classique peut-elle tirer de ces médecines non conventionnelles ? Le documentaire de Cécile Tartakovsky « Hôpital, des soins pas comme les autres » sera suivi d’un débat animé par Michel Cymes, Marina Carrère-d’Encausse et Benoît Thevenet avec Pr Laurence VERNEUIL - Dermatologue au CHU de Caen et auteur de « Docteur, écoutez ! ». Pr Alain BAUMELOU - Coordinateur du Centre intégré de médecine traditionnelle chinoise, hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris. Albin GUILLAUD - Kinésithérapeute et membre du Cortecs (Collectif de recherche transdisciplinaire esprit critique et sciences). Didier PACHOUD - Président du Gemppi (Groupe d’étude des mouvements de pensée en vue de la protection de l’individu). Documentaire disponible sur francetv préview Photos disponibles sur Phototélé Réagissez sur #Santef5 Enquête de santé - Médecines complémentaires, quelle place à l'hôpital ? Présentation Marina Carrère d’Encausse Michel Cymes Benoît Thevenet Titre documentaire Hôpital, des soins pas comme les autres Réalisation documentaire Cécile Tartakovsky Format 52 min Débat en direct 48 min Production Pulsations avec la participation de France Télévisions © Nathalie Guyon/FTV © Pulsations: http://www.francetvpro.fr/france-5/communiques-de-presse/medecines-complementaires-quelle-place-a-lhopital-7221015 |
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L'ADFI Nord-Pas de Calais-Picardie ayant été dissoute au 31/12/14,
l'activité d'accompagnement et de prévention exercée jusqu'ici est transférée vers l'association CAFFES, Centre national d'Accompagnement Familial Face à l'Emprise Sectaire (plus d'information : http://caffes.fr/?page_id=57). L'adresse postale et le numéro de téléphone restent inchangés : 7-9 rue des jardins, 59000 LILLE et 03.20.57.26.77 Nous vous prions de prendre note de la nouvelle adresse mail : contact@caffes.fr ainsi que de l'adresse du nouveau site internet : www.caffes.fr |
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Contact :
webmestre@pseudo-sciences.org Communiqué. 25 novembre 2014 Abus sexuels, « souvenirs
retrouvés » et manipulation mentale : la loi peut-elle
ignorer la science ? Une proposition de loi a été discutée au Sénat, visant à
modifier le délai de prescription pour les agressions sexuelles commises sur
des mineurs et s’appuyant sur l’affirmation que le caractère traumatisant de
l’agression peut conduire à une prise de conscience ou à une révélation tardive
d’un souvenir enfoui pendant plusieurs dizaines d’années. Elle reportait le
point de départ du délai de prescription des agressions sexuelles au jour « où l’infraction apparaît à la victime
dans des conditions permettant l’exercice de l’action publique » comme
la jurisprudence le prévoit déjà pour les abus de bien sociaux, Le Sénat l’a
modifiée en proposant de prolonger le délai de prescription de dix années
supplémentaires, le portant à 30 ans après la majorité pour les viols et
agressions sexuelles avec circonstances aggravantes. Les crimes
de viols sont particulièrement dévastateurs et il est indispensable, pour
protéger les victimes et leur rendre justice, que le droit dispose d'outils
pertinents. A ce titre, nous attirons l’attention des députés sur un texte de
loi qui ne tient pas compte de la connaissance scientifique accumulée en termes
de mémoire et de souvenirs enfouis, et qui, au nom de bonnes intentions,
pourrait en réalité avoir des conséquences dramatiques pour des personnes
innocentes et leurs familles. Si le délai de prescription de l'abus de bien social démarre au
moment où les faits sont découverts, c'est parce ce délit peut aisément être
occulté par les dirigeants d'entreprise qui s'en rendent coupables. Un abus de bien social laisse néanmoins des
traces dans une comptabilité, ce qui rend les poursuites envisageables
longtemps après les faits. Il n'existe rien de tel en matière d'agression
sexuelle. La mémoire n'est pas un livre de comptes. La possibilité d’induire des faux souvenirs (phénomène de « faux
souvenir induits ») chez des sujets existe, en revanche. Elle relève de la
manipulation des personnes. Cette pratique dénoncée à plusieurs reprises par la
Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives
sectaires (MIVILUDES)[1] a donné lieu à de nombreux
procès aux États-Unis, et aussi en France, où un thérapeute a été condamné par
le tribunal correctionnel de Paris, le 12 juin 2012 [2]. La majeure partie de la Communauté scientifique aux États-Unis
et en Europe considère en effet que l’amnésie dissociative traumatique [3],
autrement appelée refoulement, est un «
morceau de folklore dénué de tout fondement scientifique convaincant » [4].
Les faux souvenirs induits retrouvés en thérapie sont dénoncés notamment par
Élizabeth Loftus, Richard McNally,
Scott O. Lilienfeld, mais aussi en Europe et en
France notamment par Philippe-Jean Parquet [5], Paul Bensussan
[6]et Caroline Eliacheff
[7], entre autres. La proposition de loi, qui se fonde sur ces deux notions
(l’amnésie dissociative traumatique, le refoulement), loin d’aider les
victimes, aggraverait les ravages des thérapies
déviantes, qui font retrouver des « souvenirs enfouis » en utilisant des
techniques de manipulation mentale ou l’hypnose. Les principales victimes de
ces pseudo-thérapies sont, non seulement les individus et les familles accusés,
mais aussi les patients. Le professeur Élizabeth Loftus a
déclaré : « Si les Français doivent
traverser le même épisode tragique que les Américains lors de la guerre des
souvenirs, je les plains sincèrement. » [8] L’AFIS reprend à son compte la conclusion énoncée par le
Professeur Scott O. Lilienfeld : « Nous devons nous tourner vers des données bien établies, pas vers des
intuitions viscérales. Nous devons distinguer les faits scientifiques de la
fiction scientifique. Si nous ne le faisons pas, nous risquons de faire subir
un préjudice grave à des personnes innocentes et à leurs familles. » [9] L’exploitation du phénomène des faux souvenirs existe, il a déjà
fait des ravages. L’AFIS souligne que des décisions prises sous l’effet de
l’émotion et sans considération de l’état des connaissances vont encourager la
manipulation mentale et seront très lourdes de conséquences pour les personnes
qui en seront victimes. [1] Miviludes, Rapport 2007, p.159 : [2]
Le vrai procès des faux souvenirs, Le Magazine Le Monde, 4 octobre 2014, p.21 Et : http://www.unadfi.org/Affaire-Yang-Ting-Proces-reporte [3]
L’amnésie dissociative traumatique est une hypothèse non validée
scientifiquement. Ce terme ne doit pas être confondu avec celui d’amnésie
post-traumatique, phénomène dont l’existence est prouvée scientifiquement et
dont les effets sur les victimes sont de faible durée, de quelques jours à
quelques semaines. [4]
Interview de Richard McNally, « Souvenirs retrouvés,
faux souvenirs et délai de prescription » : http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article2355 [5]
Philippe Jean-Parquet, Professeur de psychiatrie infanto-juvénile à
l'université du droit et de la santé de Lille II, chef de service, exerce au
Centre hospitalier et universitaire de Lille : http://derive-sectaire.fr/philippe-jean-parquet-les-9-criteres-pour-caracteriser-lemprise/ http://videos.senat.fr/video/videos/2012/video15209.html [6]
Paul Bensussan, Psychiatre, expert agréé par la Cour
de cassation et par la Cour pénale internationale : http://www.paulbensussan.fr/ [7]
Caroline Eliacheff, pédopsychiatre et psychanalyste : http://www.huffingtonpost.fr/caroline-eliacheff/allongement-prescription-viol-mineur_b_5443006.html http://www.huffingtonpost.fr/caroline-eliacheff/usage-de-faux-abus-sexuel-reve_b_1433497.html [8] E.Loftus, Le Magazine Le Monde, 4 octobre 2014, p.22 : http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article2355 [9]
Interview de Scott O. Lilienfeld, « Souvenirs
retrouvés, faux souvenirs et délai de prescription » : |
Fenech propose de s’appuyer sur la Miviludes
pour lutter contre la radicalisation par Rédaction
de France Info mercredi 19 novembre 2014 Georges Fenech,
président du groupe d’étude sur les sectes à l’Assemblée nationale, a appelé,
mercredi sur France Info, les pouvoirs publics à s’appuyer sur la Miviludes et les associations pour "empêcher les
jeunes de tomber dans la radicalisation". Il juge que "tous les
critères de la dérive sectaire" se retrouvent chez Daech. Georges Fenech, président du groupe d’étude sur les sectes à
l’Assemblée nationale, ancien président de la Miviludes
(mission de lutte contre les sectes) a estimé mercredi sur France Info qu’il fallait
faire des efforts "considérables" en matière de "prévention"
pour éviter que des jeunes Français partent faire le djihad en Syrie ou en
Irak. Georges Fenech a invité le Premier ministre Manuel Valls à "confier
à la Mission Interministérielle de Vigilance et de Lutte contre les Dérives
Sectaires (MIVILUDES), qui lui est directement rattachée, la mise en œuvre d'un
plan national de prévention contre le phénomène d'endoctrinement en vue du
recrutement de candidats au djihad". |
Société : SECTES/SANTÉ
Un nouveau président pour la Miviludes
L'ancien député-maire socialiste de Paris (XIIIe),M. Serge Blisko, membre jusqu’en 2012 du groupe d’études sur les sectes à l’Assemblée Nationale, a été nommé Président de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) par un décret du président de la République, en date du 1er août 2012 (parution jeudi 2 août 2012 au Journal officiel). M. Blisko, 62 ans, médecin de formation, remplace M. Georges Fenech (UMP), ancien magistrat. Service du Premier ministre, la Miviludes "observe et analyse le phénomène sectaire, coordonne l'action préventive et répressive des pouvoirs publics à l'encontre des dérives sectaires, et informe le public sur les risques et les dangers auxquels il est exposé", selon la page d'accueil de son site. Attention : les dérives sectaires ne prennent pas de vacances SECTICIDE association de lutte et prévention contre les dérives sectaires, basée à VERDUN sur Meuse, reçoit quotidiennement des signalements dont une grande partie relève d’arnaques à la santé ; mais faute de preuves objectives, il n’y a pas matière à caractériser une plainte ; de plus, la victime, abusée, s’est montrée docile et consentante … Seule, une information régulièrement réactualisée permet de se protéger et de mettre en garde ceux qui nous sont chers ! A savoir, la MIVILUDES (Mission Interministérielle de Vigilance et de Lutte contre les Dérives Sectaires) a publié aux éditions de La Documentation Française en avril 2012 le GUIDE « Santé et dérives sectaires » consultable par tous sur le site de la MIVILUDES.
L’objectif premier de SECTICIDE étant la prévention par l’information, une Conférence sur Santé et Dérives Sectaires sera organisée le vendredi 19 octobre 2012 à la salle de fêtes de BELLEVILLE sur MEUSE à partir de 20 heures
et un accueil sera assuré dès 14 heures jusqu’à 20 heures pour les particuliers et groupes (chacun vient quand il veut et reste le temps qu’il veut) qui pourront consulter une documentation fournie, dont des projections audio-visuelles et des films et bénéficier des analyses et mises en garde de l’intervenant DIDIER PACHOUD Président de l’association GEMPPI , basée à Marseille GEMPPI BP 30095 13 192 Marseille Cedex 20 www.gemppi.org courriel gemppi@wanadoo.fr Tél. 04 91 08 72 22
( GEMPPI : Groupe d’Etude des Mouvements de Pensée en vue de la Protection de l’Individu) qui organise chaque année à Marseille un Colloque National sur les dérives sectaires
Didier PACHOUD est aussi Trésorier de la FECRIS (Fédération Européenne des Centres de Recherche et d’Information sur le Sectarisme) dont SECTICIDE est l’un des Correspondants
GEMPPI BP 30095 13 192 Marseille Cedex 20 www.gemppi.org courriel gemppi@wanadoo.fr Tél. 04 91 08 72 22
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En avant première
Vendredi 30 septembre à 17h
Cité des associations - 93, La Canebière 13001 Marseille
Ces films ont été joués par des acteurs professionnels et tournés à Marseille
L'avant première de ces films se fera le vendredi 30 septembre à 17h.
Seront présents les réalisateurs de ces films, les acteurs, les techniciens et
bien-sûr les animateurs du GEMPPI qui vous dévoileront les dessous et les
difficultés de la création d'un tel projet audio-visuel et les objectifs
recherchés. Fort heureusement, tant du côté des acteurs, qui ont dû
mémoriser des textes pour le moins ésotériques, que pour les réalisateurs et
techniciens, soumis à nos exigences toutes aussi ésotériques par rapport à
ce qu'ils envisageaient de la problématique sectaire, nous avons trouvé
beaucoup de générosité, de talent, d'adaptation, de compétence et de
motivation.
Groupe d’Etude des Mouvements de Pensée en vue de la Protection de l’Individu www.gemppi.org - www.gemppi.monsite-orange.fr
et
Les Ateliers de l’Image et du Son www.ais.org Sommaire du DVD - Médecines parallèles (Guérisseurs et thérapeutes sectaires) : 15 mn - Le fils de la forêt (Pseudo-naturalistes, humanitaires sectaires) : 15 mn - Les visiteurs (Religiosités sectaires) : 15 mn - Alice’s devil (Satanisme, sociétés initiatiques sectaires) : 15 mn
Pour toute information ou intervention
- Pour se procurer un exemplaire de ce DVD GEMPPI BP 30095 13192 Marseille cedex 20 gemppi@wanadoo.fr - www.gemppi.org 04 91 08 72 22 - 06 98 02 57 03 - Pour recevoir un animateur pour conduire la réflexion des collégiens et lycéens autour du thème d’un ou plusieurs de ces films de votre choix - Pour la formation ou l’initiation des enseignants et autres responsables éducatifs à l’utilisation de cet outil pédagogique. . Sortie septembre 2011
Le but et l’usage de ces films Motivations - Notre longue expérience et nos statistiques (environ 1200 demandes d’aide et d’information par an) nous ont permis de constater la nécessité d’aguerrir la jeunesse, qui dans les difficultés qu’elle traverse parfois, est de plus en plus perméable aux nombreuses et séduisantes sollicitations de groupes sectaires ou douteux. Ceci devenant une priorité nationale, nous avons produit un DVD de 4 films de 15 minutes environ, des fictions jouées par des acteurs professionnels, intitulé: « Des sectes qui n’en ont pas l’air ». La réalisation et la mise en scène ont été exécutées par les Ateliers de l’Image et du Son, une école de cinéma de Marseille dont tous les étudiants ont passé l’épreuve du BTS sur l’élaboration de ces 4 films. Le but étant d’exercer l’esprit critique des collégiens, des lycéens selon une méthode originale proposée aux enseignants par le GEMPPI et d’éveiller les jeunes à certains risques présentés par la difficulté actuelle d’identifier les groupes sectaires qui se confondent souvent d’ailleurs avec des médecines non conventionnelles et les centres de développement personnel. La multiplication des opérateurs et groupuscules sectaires nous amène à travailler beaucoup plus sur les principes de manipulation mentale et de suggestion et sur l’affinement de l’esprit critique. En effet, confronté à des groupes ou à des individus qui, de plus en plus, ne présentent en apparence aucune aberration et même plutôt de la cohérence dans les discours (abandon des formes et du discours religieux pour un lexique et des apparences pseudo scientifiques, psychologiques ou médicales), les écrits et les comportements, alors qu’il s’agit d’entreprises sectaires, le jeune adulte pourra trouver au travers de nos documents audio-visuels, quelques repères simples, quelques exemples, lui permettant de déclencher la mise en marche de son esprit critique et d’analyse. L’intérêt est d’exercer l’individu, en lui donnant quelques outils et en l’alertant sur de fausses idées reçues, à aller au delà de l’image rassurante, géniale, intelligente, humanitaire, généreuse, novatrice que peuvent se donner certains groupes sectaires ou simplement des manipulateurs dans quelque domaines que ce soit. La série de films entend traiter de plusieurs aspects de la question, comme par exemple, l’apprentissage à l’analyse des termes d’un discours, des idées sous entendues, pour deviner quelle en est la véritable finalité, discerner ce qui appartient au domaine de la connaissance et de la science, et ce qui relève de la foi, de la croyance ou des pseudosciences. Les 4 films. Ils ne citent évidemment aucun mouvement et sont conçus pour ne donner lieu à aucun incident juridique. Ils soulignent, suggèrent les mécanismes de manipulation mentale, suscitent la réflexion et l’esprit critique, tout en évitant le côté moralisateur. Les mots ont été soigneusement choisis et correspondent à la réalité actuelle des groupes sectaires (Le GEMPPI a une expérience de plus de 23 ans dans ce domaine). Conçus pour avoir plusieurs niveaux de compréhension, ces films sont adaptés au profil des jeunes de 14 à 25 ans. Ces 4 courts métrages sont aussi un excellent support audio-visuel pour les conférenciers qui souhaitent traiter des thèmes relatifs à la manipulation mentale et aux dérives sectaires. |
SECTICIDE un partenaire européen face aux dérives sectaires
Représentée par Lucienne et Michèle de BOUVIER de CACHARD, l'association SECTICIDE (de lutte et prévention contre les pratiques dangereuses de certaines sectes) a été agréée " CORRESPONDANT" de la FECRIS (= Fédération Européenne des Centres de Recherche et d'information sur le Sectarisme), qui tenait son Assemblée Générale à LONDRES, dimanche 18 avril 2010.
La veille, une CONFÉRENCE sur le thème " Perméabilité du monde contemporain face aux sectes " faisait le point sur une situation alarmante. Les participants et intervenants étaient nombreux à avoir effectué le déplacement en dépit des difficultés de transport consécutives à l'éruption volcanique d'Islande pour débattre de ce grave problème de société. En France, la loi ABOUT-PICARD de 2001 réprimant les abus de faiblesse est une avancée dans le traitement des dérives sectaires, quand elle est appliquée mais elle est, d'après des cas concrets, insuffisante face à l'efficacité des techniques de manipulations qui transforment les individus en victimes consentantes, et soumises incapables de se plaindre, fût-ce à elles mêmes, ou de déposer une plainte auprès des services habilités.
Ce sera l'un des sujets abordés le vendredi 24 septembre 2010, à la salle des fêtes de Belleville sur Meuse, lors de la Conférence - ouverte à tous - organisée par
SECTICIDE
dont le siège social a été transféré au 4 Allée du DIEU du TRICE, 55100 VERDUN, chez Mesdames de BOUVIER de CACHARD auprès desquelles on peut s'adresser pour toute information.
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Attention : changement de domiciliation Le siège social de l'association SECTICIDE est transféré depuis le 15 février 2010 chez Chez mesdames Lucienne et Louise Michèle
de Bouvier de Cahard
4 allée du Dieu du Trice 55100 VERDUN Tél-fax. 03 29 86 30 32
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Association Loi 1901 Siège Social : 4 allée du Dieu du Trice, 55100 VERDUN Tél/Fax : 03.29.86.30.32 Site : http://perso.orange.fr/secticide Courriel : secticide@wanadoo.fr
Origine : Objet : SECTICIDE assure l'information, la protection, la défense des intérêts matériels moraux et généraux des familles dont les droits fondamentaux sont menacés par les méthodes et actions totalitaires propres à certaines sectes, la scientologie, en particulier Services : SECTICIDE admet comme moyens d'actions ceux qui permettent d'atteindre également les objectifs qu'elle s'est donnée, notamment toute action on justice qu'elle jugera nécessaire, toute action éducative et sociale conférences, colloques, expositions…
Présidente : Lucienne de Bouvier de Cachard - VERDUN 55. Adhésion 2008 : montant de la cotisation (à l'ordre de SECTICIDE) 15 euros. |
COMPTE-RENDU DE LA JOURNEE D'INFORMATION
ORGANISEE PAR SECTICIDE LE 24 SEPTEMBRE 2010
Thème : Gare aux dérives sectaires…Préservons un bien précieux, le contrôle de nos vies.
Rapprochons-nous des associations spécialisées. Intervenant : L'équipe de l'A.D.F.I. Nord- Pas De Calais-Picardie (Association de Défense des Familles et de l'Individu, centre d'accueil et d'aide aux victimes de mouvements sectaires. L'ADFI NPCP, Association Loi 1901, déclarée en Préfecture du Nord en 1975, s'adonne, depuis sa création, à l'accueil, l'écoute et l'orientation des victimes directes et indirectes de dérives sectaires. L'association dispose d'un service de documentation fourni et, depuis 2001, d'un service d'accompagnement psychologique, juridique et social, gratuit et confidentiel, assuré par des professionnels choisis pour leurs compétences en matière de dérives sectaires ; depuis 2003, l'association offre, aux victimes de dérives sectaires, un espace de rencontre, de parole et d'écoute ; depuis 2009, le service professionnel de sensibilisation de l'association vise à faire évoluer les représentations du phénomène sectaire sans jamais s'autoriser à " qualifier ou à interpréter les doctrines dont se prévalent personnes, mouvements, organisations ". Destinataires de la Journée SECTICIDE :
Déroulement des interventions :
Le représentant de la MIVILUDES (Mission Interministérielle de VIgilance et de LUtte contre les DErives Sectaires) déclarait à LILLE, le 18 juin 2010, à l'occasion de la cérémonie de remise des insignes de chevalier dans l'ordre national de la Légion d'honneur à Mme Charline DELPORTE-BROUWERS, Présidente, retraçant le parcours de l'ADFI Nord-Pas De Calais-Picardie :
Après avoir laissé, au moment des questions, la parole à Audrey, à Céline, Madame DELPORTE passait la main à NICOLAS, lequel présentait son Mémoire sur " Les personnes âgées face à la mécanique sectaire ", analysant en particulier comme facteur de vulnérabilité leur mode de vie : plus sédentaire, plus solitaire, et avec plus de besoins, ce qui facilite l'entrisme par la séduction, puis la captation des centres d'intérêt, enfin l'emprise avec captation des biens et ruptures familiales.
Madame DELPORTE se faisait la porte-parole d'Antoine GUELAUD, retenu par ses obligations professionnelles, et présentait son ouvrage :
La journée s'est terminée dans la convivialité et le partage associatif agrémentés par le talent de musiciens amis.
L'article premier prévoit " la dissolution de toute personne morale, quelle qu'en soit la forme juridique ou l'objet, qui poursuit des activités ayant pour but ou pour effet de créer, de maintenir ou d'exploiter la sujétion psychologique ou physique des personnes qui participent à ces activités, lorsque ont été prononcées, contre la personne morale elle-même ou ses dirigeants de droit ou de fait, des condamnations pénales définitives pour l'une ou l'autre des infractions mentionnées ci-après " 1. " Infractions d'atteintes volontaires ou involontaires à la vie ou à l'intégrité physique ou psychique de la personne, de mise en danger de la personne, d'atteinte aux libertés de la personne, d'atteinte à la dignité de la personne, d'atteinte à la personnalité , de mise en péril des mineurs… " 2. " Infractions d'exercice illégal de la médecine ou de la pharmacie. " 3. " Infractions de publicité mensongère, de fraudes ou de falsifications. " En outre cette loi limite la publicité des mouvements sectaires. " Remarque : l'application de cette loi est difficile et requiert d'importantes investigations de la part des tribunaux.
en application de l'article 52 de la loi n°2004-806 du 9 août 2004 relative à la politique de santé publique, l'usage du titre de PSYCHOTHERAPEUTE est réservé aux professionnels inscrits au registre national des psychothérapeutes. (à chacun de procéder à toute vérification utile.)
Elles seraient attenantes à une maternité. Tel est le projet qui sera expérimenté à partir du 1/09/2011. Objectif : " encadrer ces pratiques " " ne pas laisser les sectes avoir les mains libres et avoir des structures qui, au motif de répondre au désir de certaines femmes, les mettent sous influence " |
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE STATUTAIRE du 25.09.09
RAPPORT MORAL Association Secticide - l5ème ANNIVERSAIRE Depuis sa création en avril 1994, fidèle à sa vocation, SECTICIDE assure le LIEN entre les adhérents et sympathisants qui font DON de leur temps et de leurs compétences et les demandeurs d'aide et soutien qui sont plongés dans le désarroi et la détresse en raison de l'EMPRISE DES SECTES sur elles-mêmes ou sur un être qui leur est cher. Ces actes de SOLIDARITÉ sont animés par les VALEURS HUMANISTES prônées par SECTICIDE de protection de la dignité humaine et des droits fondamentaux de chacun. Au fil de ces 15 années, les SPÉCIALISTES LES PLUS ÉMINENTS ont répondu à l'invitation de SECTICIDE dans un but de PRÉVENTION et de PROTECTION par l'INFORMATION.
Tout d'abord, il a été établi que nous sommes TOUS des CIBLES POTENTIELLES DES SECTES et que la période de CAPTATION la plus favorable correspond aux étapes charnières de la vie
: Puis a été analysé l'ART DE MANIPULER mis au point par les sectes pour que la personne ciblée se laisse embrigader de son plein gré et même avec " bonheur " par un GOUROU (coach, leader, thérapeute, berger, maître, dispensateur de bien-être...) Plusieurs victimes de sectes sont venues apporter leurs témoignages ; elles ont évoqué des techniques ayant porté atteinte à leur santé physique et/ou psychique et un mode opératoire les COUPANT de leur famille et de leur environnement habituel.
Ces victimes gardent des séquelles persistantes des effets de la mécanique sectaire pour se reconstruire, l'ex-adepte doit COMPRENDRE ce qui s'est passé,
revivre sa manipulation mentale dans son ensemble ; c'est un travail fastidieux, qui peut prendre plusieurs années, avant que ne se déclenche une COLÈRE LIBÉRATRICE envers son gourou.
Un certain nombre de MÉTHODES PSYCHOTHÉRAPEUTIQUES, en intégrant le vécu des individus et celui de leur famille, sollicitent la RÉMINISCENCE DES SOUVENIRS. Or notre MEMOlRE estfragile : la manipulation de la mémoire a lieu partout, tous les jours et dans la majorité des cas, de façon involontaire insidieusement, à;chaque instant, une information ERRONEE peut se fondre à l'intérieur d'un VRAI SOUVENIR. Une question suggestive, un état d'hypnose, un rabachage de clichés peuvent intégrer cette information FAUSSE dans les souvenirs, si bien que plus rien ne fera douter de leur existence. La falsification et le détournement de la mémoire réelle ou imaginée, par des praticiens incompétents ou poursuivant des objectifs d'ASSERVISSEMENT des personnes qui leur accordent leur confiance, constituent le phénomène appelé "syndrome des faux souvenirs".
Le rapport 2007 de la MIVILUDES fait cette distinction :
Il existe plusieurs sortes de faux souvenirs : De nombreuses méthodes, dévoyées de leurs objectifs, peuvent conduire à cette dérive selon le Rapport Parlementaire 2007 : "l'hypnose ; la sophrologie ; la psychogénéalogie ; le décodage biologique des êtres vivants ; les massages énergétiques ; la communication facilitée ; la gestalthérapie ; le yoga méditation ; le psycho-théâtre ; la musicothérapie ; la consommation d'iboga... quand ils sont associées à des fonctionnements à caractère sectaire, à savoir: le cloisonnement du groupe, l'imposition de l'ormerta à l'extérieur du groupe, la cherté des séances de thérapie ; les punitions financières du membre dissident ; la pression ou menace sur le dissident envisageant de quitter le groupe".
Important :
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Le dévoiement des pratiques psychothérapeutiques à des fins sectaires (d'après le Rapport 2006 de la Miviludes)
La mouvance sectaire investit largement le champ de la santé, où elle trouve les techniques de conditionnement psychique
de nature à mettre en état de sujétion l'individu, avant d'enclencher l'endoctrinement sectaire.
CONSEQUENCES :
Les grands-parents sont privés de leurs petits-enfants et se demandent ce que ceux-ci vont devenir, coupés de la famille et des amis, et n'entendant qu'UN SEUL DISCOURS, celui de leurs parents ou du leader du groupe.
Maison des Associations du 13ème arrondissement, 11 rue Caillaux 75013 PARIS Certains parents, blanchis par la justice, se sont retournés contre le thérapeute déviant. Ils ont été déboutés, faute de preuves. Le thérapeute continue à faire de nouvelles victimes. 2) Aider à s'y retrouver dans le vaste champ des PSY... et intensifier la vigilance en vue de la protection de l'individu et des familles, rétablir la CONFIANCE dans des professions dont l'utilité est incontestable et qui pâtissent de ces déviances. En pratique, le GEMPI (Groupe d'Etude des Mouvements de Pensée en vue de la Protection de l'individu) dont le siège social est à Marseille (B.P. 30095 - 13192 Marseille Cedex 20) a mis en place, avec ses partenaires, une CHARTE des " Praticiens et acteurs du corps et de l'esprit ", ouverte aux soignants où qu'ils se trouvent. Cette CHARTE est accompagnée de la liste de " quelques indices permettant de suspecter des dérives sectaires ou thérapeutiques et de la manipulation mentale ". C'est un outil permettant de distinguer les bons praticiens. |
Assemblée générale et journée d'information
du 25 septembre 2009 COMPTE-RENDU
Les manifestations organisées à occasion du 15ème anniersaire de la création de l'Association SECTICIDE, de lutte et prévention contre les méthodes
dangereuses d'asservissement et de manipulation pratiquées par certaines sectes ont été bien suivies.
C'est sur le thème de la FAMILLE, menacée par des thérapeutes incompétents ou sans scrupules, que se sont succédés conférence et témoignages illustrant comme le soulignait monsieur Bonhomme, neuropsychiatre, l'origine latine du mot " SECTE " : SECARE = COUPER. Une nombreuse assemblée, réunie à la salle des fêtes de Belleville-sur-Meuse, a écouté avec attention et émotion la conférence de la présidente de l'AFSI (Alerte Faux Souvenirs Induits), madame Claude DELPECH, sur les thérapies déviantes qui génèrent le syndrome des " FAUX SOUVENIRS INDUITS " et sont souvent propagées dans des activités dites " Du Mieux être et du Mieux vivre ". Ces FAUX SOUVENIRS résultent de techniques d'auto-suggestion ou d'une inf1uence indue qu'exercent certains thérapeutes, ou groupes " psy " ou acteurs de formation professionnelle, sous couvert de faire remonter des souvenirs de la petite enfance aux fins avancées de conduire le client à " l'épanouissement personnel " ; il en résultr l'idée, puis le " faux " souvenir de maltraitances qui conduisent un adulte à COUPER LES PONTS avec ses PARENTS, à séparer les petits-enfants des grands-parents, à interdire toute confiance, en jetant la suspicion sur tous les membres de la famille et le client, isolé, devient vulnérable et dépendant. Ces dévoiements mettent en évidence les défaillances d'un encadrement des formations et les pratiques des thérapeutes qui sont un encouragement pour les charlatans et les gourous des entreprises sectaires, organisées en réseau, pour soutirer plus d'argent possible à leur proie, souvent avec accompagnement de ventes pyramidales de produits douteux (L'ordre des médecins souligne à ce sujet que " la médecine n'est pas un commerce "). Le vote en 2009 des textes d'application de la Loi Accoyer, relatives aux " conditions des formations théoriques et pratiques des psychothérapeutes et aux sanctions à l'encontre des professionnels exerçant ou autorisant des pratiques à visée thérapeutique présentant des risques sérieux pour la santé humaine " devrait mettre fin à cet état de fait. Cependant, depuis 2005, de nombreux procès et drames familiaux (dépressions, suicides, ruptures...) et résultant des Faux Souvenirs Induits se multiplient en France, encore aggravés par la non-connaissance du phénomène de certains magistrats attachés aux affaires familiales, ou du grand public qui colporte des rumeurs désastreuses. Ensuite, la mécanique de destruction des Familles a été développée par le témoignage de deux pères de famille, avec évocation de leur souffrance et angoisse à la pensée que le phénomène se reproduise sur leurs enfants, lesquels, privés de leurs racines, sont des proies faciles pour des thérapeutes peu scrupuleux. Un personnage important s'était déplacé d'Autriche, Monsieur Friedrich GRIESS, Prêsident honoraire de la FECRIS ( Fédération européenne des centres de recherches et d'information sur le sectarisme créée à PARIS en 1994), structure qui regroupe 45 associations européennes représentatives, réparties rur 29 pays et les Etats-Unis d'Amérique, et qui traite du probléme des dérives sectaires dont les manifestations sont évolutives.
Monsieur GRIESS a rappelé que " la France est pionnière dans ce combat pour la sauvegarde de la dignité et du droits de l'homme et qu'il faut harmoniser
dans nos pays les décisions de nature à endiguer des mécanismes destructeurs de l'individu, des familles et des démocraties ".
Il a ajouté avec fierté que la FECRIS (Fédération Européenne des Centres de Recherches et d'lnformation sur le Sectarisme) venait d'être reconnue ONG
( Organisation Non-Gouvernementale) par l'Organisation des Nations Unis
Dans le Rapport Moral de l'Assemblée Générale, la Présidente de Secticide a souligné la progression de l'information à destination de tous,
dans un objectif de prévention, et a remercié pour leur assiduité ses adhérents, sympathisants, amis et bénévoles qui font don de
leur temps et de leurs compétences, et les autorités civiles et religieuses qui assurent par leur présence la reconnaissance du travail de salubrité
publique effectué par l'Association.
Le rapport financier fait état d'un budget en déséquilIbre, la totalité des cotisations et les subventions accordées par deux communes de
Meuse étant utlisée pour la " Journée annuelle Secticide ". Les membres fondateurs couvrent les frais de
déplacements pour les missions et participations à des groupes de travail (Marseille, Pise, Saint-Petersbourg).
Le mode de fonctionnement des organisations sectaires aux ramifications
internationales nécessitent cet engagement. Soulignons que de nombreuses maladresses, voire des drames, seraient évités si l'information était
mieux entendue donc davantage prise en charge.
Pour plus d'information (Actes du Coloque de Saint-Petersbourg sur " Sectes destructrices et Droits de l'Homme " de mai 2009 avec un long
témoignage sur les pratiques de la scientologie aux Etats-Unis), contacter : Mesdames de Bouvier - Association Secticide - 14 bis Avenue Miribel -
55100 VERDUN - Téléphone-Fax 03 29 86 30 32 et se rendre sur le site de l'association : http://perso.wanadoo.fr/secticide |
Communiqué de presse du GEMPPI
Sectes : encore une bavure Une loi favorable aux sectes a été votée Marseille 16.09.09 Une loi favorable aux sectes a été votée en douce peu avant cet été. Cette loi sauve ainsi la Scientologie qui attend le verdict d'un jugement où elle risquait la dissolution Cette modification à la loi enlève au juge la capacité de dissoudre, en tant que personnes morales, les organisations ayant été condamnées plusieurs fois. La Scientologie ayant déjà été condamnée ne peut que se réjouir. Comment peut-on faire passer une loi sans que les députés soient au courant ou aient compris les enjeux ? Est-ce la faute au cumul des mandats de certains députés qui ne font plus leur boulot ou à la réduction progressive de la démocratie ? En tous cas, cela s'est fait dans notre dos, nous n'avons rien vu dans la presse et aucun débat n'a eu lieu. Nous sommes en toute sincérité traversés par un doute au GEMPPI suite à une succession de bavures ou de bafouillages dans une période de temps assez courte (1 ou 2 ans) et émanent d?une même origine.
Il a été question au plus haut niveau de l'Etat : Ceci s'ajoutant à l?accueil privilégié de Tom Cruise, le célèbre acteur de cinéma s'appuyant sur sa notoriété pour faire la promotion de la Scientologie dont il est adepte, par des personnalités politiques et d'Etat Françaises il n'y a pas si longtemps. S'il fallait améliorer la loi sur ce point, pourquoi ne pas avoir envisagé conjointement, la possibilité pour le juge de dissoudre (loi existante) et aussi celle d'interdire les activités de la secte ou organisation sur le territoire (nouvelle loi) ? Pourquoi cette modification à la loi annule t-elle opportunément pour la Scientologie la première mesure, qui aurait permis une gradation dans la sanction ? On se pose maintenant les questions suivantes : s'agit-il d'accidents à répétition ou sommes nous passés aux ordres de Washington ? En effet le département d'Etat américain fait pression de manière constante depuis des années sur les gouvernements successifs de la France pour que des minorités religieuses américaines (en particulier, celles que nous appelons sectes ici) soient ménagées, voire soutenues. La seule chose que nous pouvons constater, c'est qu'après des décennies de résistance française sur ce point, l'Etat américain a fini par être exaucé et a pu voir notre pays adopter enfin certaines de ses positions privilégiant les «nouveaux mouvements religieux » (en fait, des sectes le plus souvent) et faisant par la même dynamique reculer nos traditionnels principes de laïcité à la française.
www.gemppi.org |
Quelques indices permettant de suspecter des
dérives sectaires ou thérapeutiques et de la
manipulation mentale Quelques idées fausses - C'est gratuit ou presque, donc ce n'est pas une secte, je ne risque rien - C'est très cher, donc c'est efficace - Il y a beaucoup de monde qui fréquente ce lieu, donc ça doit être efficace ou ce qu'il s'y dit doit être vrai - Le thérapeute ou enseignant accepte toutes les croyances, il est tolérant d'ailleurs il a rencontré le Dalaï Lama, le Pape, je ne suis donc pas dans une secte - Etc.
Quelques indices qui devraient susciter de la méfiance
Pour toute aide ou information, contactez |
Rappel utile " Exercice illégal de la médecine " art. L4161-1 Code de la santé publique A ce sujet, vous pouvez vous procurer le film DVD (environ 20 mn) publié par le GEMPPI, où un juriste expose les risques juridiques encourus par toute personne qui n'est pas dûment diplômée pratiquant des diagnostics, des soins, de la guérison, de la thérapie, de la cure, des médecines complémentaires, douces ou autres, etc. Ces pratiques sont interdites par la loi et sont régulièrement l'objet de condamnations par les tribunaux lorsqu'ils sont saisis. Il est cependant permis aux non-médecins de proposer des techniques de confort et de bien-être, mais en aucun cas rien qui pourrait s'apparenter à des diagnostics ou des soins. 1° Toute personne qui prend part habituellement ou par direction suivie, même en présence d'un médecin, à l'établissement d'un diagnostic ou au traitement de maladies, congénitales ou acquises, réelles ou supposées, par actes personnels, consultations verbales ou écrites ou par tous autres procédés quels qu'ils soient, ou pratique l'un des actes professionnels prévus dans une nomenclature fixée par arrêté du ministre chargé de la santé pris après avis de l'Académie nationale de médecine, sans être titulaire d'un diplôme, certificat ou autre titre mentionné à l'article L. 4131-1 et exigé pour l'exercice de la profession de médecin, ou sans être bénéficiaire des dispositions spéciales mentionnées aux articles L. 4111-2 à L... 4111-4, L. 4111-6, L. 4111-7, L. 4112-6, L. 4131-2 à L. 4131-5 ; 2° Toute personne qui se livre aux activités définies au 1° ci-dessus sans satisfaire à la condition posée au 2° de l'article L. 4111-1 compte tenu, le cas échéant, des exceptions apportées à celle-ci par le présent livre et notamment par les articles L. 4111-6, L4111-7 et L.4131-4-1 ; 3° Toute personne qui, munie d'un titre régulier, sort des attributions que la loi lui confère, notamment en prêtant son concours aux personnes mentionnées aux 1° et 2° à l'effet de les soustraire aux prescriptions du présent titre ; 4° Toute personne titulaire d'un diplôme, certificat ou tout autre titre de médecin qui exerce la médecine sans être inscrite à un tableau de l'ordre des médecins institué conformément au chapitre Il du titre 1er du présent livre ou pendant la durée de la peine d'interdiction temporaire prévue à l'article L. 4124-6 à l'exception des personnes mentionnées aux articles L. 4112-6 et L. 4112-7 5° Tout médecin mentionné à l'article L. 4112-7 qui exécute des actes professionnels sans remplir les conditions ou satisfaire aux obligations prévues audit article. Les dispositions du présent article ne s'appliquent pas aux étudiants en médecine ni aux sages-femmes, ni aux infirmiers ou gardes-malades qui agissent comme aides d'un médecin ou que celui-ci place auprès de ses malades, ni aux personnes qui accomplissent, dans les conditions prévues par décret en Conseil d'État pris après avis de l'Académie nationale de médecine, les actes professionnels dont la liste est établie par ce même décret. |
Le phénomène sectaire en 2008-2009
I- Les sectes * A l'origine, une secte était un groupe organisé de personnes professant une doctrine commune, (de sequor = suivre) qui s'étaient détachées d'une communauté principale (de secare = couper) pour former un groupe dissident.
* A partir du XVIème siècle : une secte a parfois désigné un groupe de personnes sectaires, c'est-à-dire composé d'individus intolérants, fanatiques, exaltés ou étroits d'esprit. * Aujourd'hui les sectes présentent une énorme diversité. Elles se trouvent sous des vocables variés et hétéroclites : association, centre, communauté, église, fondation, fraternité, mouvement, etc. Elles peuvent aussi bien s'apparenter à des organisations multinationales qu'à des petits groupes de 2 ou 3 personnes. A la tête des sectes se trouvent des dirigeants qui imposent leurs règles sous une forme dictatoriale, totalitaire, manichéenne. Ils se font nommer leaders, maîtres, gourous, coachs, pasteurs... Il n'existe pas de liste exhaustive des mouvements sectaires sévissant sur le territoire français. Mais il existe un faisceau d'indices permettant à tout individu de reconnaître des manifestations sectaires : - déstabilisation mentale, - caractère exorbitant des exigences financières, - rupture avec la famille et environnement d'origine, - atteinte à l'intégrité physique, - embrigadement des enfants, - discours anti-social, - importance des démêlés judiciaires, - détournement des circuits économiques traditionnels, - tentatives d'infiltration des pouvoirs publics. En raison des lois sur les libertés, il n'existe pas de lois spécifiques sur les sectes et l'installation comme les activités des sectes ne sont pas interdites sauf s'il y a trouble à l'ordre public ou infractions répertoriées dans le Code Pénal. A la notion de " secte ", on substitue plus facilement aujourd'hui la notion de " dérive sectaire " qui cible les techniques destinées à manipuler un individu à son insu, afin qu'ils servent les objectifs du leader, au détriment, présent ou à venir, de ses valeurs, de sa famille, de ses intérêts personnels. 2. Les sectes sont organisées selon une structure pyramidale ou en forme de grappes Certaines comptent plusieurs millions de membres ; ce qui peut donner naissance à des sectes à l'intérieur de la secte pour des conflits de pouvoir. 3. Le point commun de toutes les sectes, c'est la présence à la tête du groupe, ou de l'organisation, d'un être dominant un gourou. 4. Les sectes sont puissantes. - parce qu'elles sont bien organisées et quelles sont riches elles utilisent l'intelligence de leurs membres, leurs qualifications, leur dévouement ; - elles savent utiliser à leur bénéfice les techniques les plus récentes pour attirer et garder une main d'oeuvre bon marché ; - elles offrent à leurs adeptes une DROGUE MENTALE dont ils ne peuvent plus se passer ; - elles font croire à leurs membres ce qui les arrange pour arriver à leurs fins ; - elles les conduisent à rejeter les pensées qui ne sont pas conformes à l'idéologie du leader ; toute contestation est réprimée et sévèrement punie ; tout contact avec les membres de la famille biologique de l'adepte qui ne souscrivent pas à l'idéologie de la secte est interdit ; ainsi s'opère la coupure de l'adepte avec l'ensemble de sa famille et de sa parenté. Les adeptes sont tenus à garder le secret sur les pratiques du groupe et ce qu'il advient de ses membres. Ceux qui cherchent à quitter le mouvement sont menacés de représailles. Ceux qui l'ont quitté vivent longtemps dans un état morbide de peur.
II. Le recrutement
III. Le terrain de chasse des sectes
IV. Les techniques de recrutement
V. Le Nouvel Adepte |
Rapport moral de l'assemblée générale de SECTICIDE,
le vendredi 26 septembre 2008
En raison de la CONTROVERSE qui a éclaté en février 2008 sur les activités sectaires en France et leur dangerosité, il apparaît bien que le RAPPORT MORAL de cette Assemblée Générale est le lieu pour faire entendre LA VOIX DE SECTICIDE, en regard :
* du vécu de l'ASSOCIATION * des témoignages reçus en 2007, en 2008 par I'ASSOCIATION, * des documents diffusés par la MIVILUDES (Mission interministérielle de vigilance et lutte contre les dérives sectaires) ; dont le " RAPPORT AU PREMIER MINISTRE pour année 2007 " publié par " La Documentation française " en avril 2008 * des études communiquées par les Associations spécialisées ; * des déclarations et des travaux de PARLEMENTAIRES, qui mettent leurs compétences au service de la préservation de la dignité humaine des "COMMISSIONS D'ENQUETE PARLEMENTAIRES " ONT TRAITE LE SUJET DES SECTES en 1995 en 1999, en 2006. LES SECTES SONT UN PROBLÈME EN FRANCE, CAR IL Y A DES VICTIMES, INCAPABLES DE SE PLAINDRE OU DE FAIRE VALOIR LEURS PREJUDICES ces victimes sont SOUS EMPRISE, ce qui les empêche d'exprimer librement ce quelles endurent, et encore plus de se tourner vers la justice. Certaines victimes défendent même les sectes L'EMPRISE sectaire s'exerce sur des individus de culture, d'instruction, de milieux sociaux très divers. Le Président de l'Assemblée Nationale, Bernard ACCOYER, estime à " DES CENTAINES DE MILLIERS " les VICTIMES de groupes sectaires de toute nature, en France, qu'il s'agisse de grandes organisations ou de petites officines LES SECTES SONT UN PROBLEME EN FRANCE, CAR ELLES PORTENT ATTEINTE A LA DIGNITE HUMAINE, AUX DROITS DE L'HOMME, A L'ORGANISATION SOCIALE. Les SECTES coupent les individus de leurs repères, de leur entourage, et abusent d'eux au plan mental, physique, financier. Elles sont mêlées à des délits d'abus de faiblesse de harcèlement ; de pressions morales ; de manipulations ; d'exercice illégal de la médecine ; de séquestration arbitraire ; d'escroquerie ; c'est un NON RESPECT DES LOIS DE LA REPUBLIQUE. Catherine PICARD. Présidente de I'UNADFI (Union Nationale des Associations pour la Défense des Familles et de l'individu victimes de sectes), qui a défendu la " LOI ABOUT- PICARD " de 2001 sur l'abus de faiblesse, témoigne de son expérience : " Les actions des victimes de sectes relèvent du PARCOURS DU COMBATTANT car les juges sont de plus en plus distants par rapport à ce problème. Peu de juges ont le courage de s'embarquer dans l'instruction de ces dossiers... (pour éviter des procès qui nuisent à leur image, certaines sectes proposent un dédommagement financier à leurs victimes contre l'abandon des poursuites). LES SECTES SONT UN PROBLEME EN FRANCE, CAR ELLES SONT PUISSANTES. ELLES S'APPUIENT SUR DES ORGANISATIONS INTERNATIONALES, QUI PÈSENT DES MILLIONS DE DOLLARS ELLES MULTIPLIENT LES PRESSIONS La Cour européenne des droits de l'homme est extrêmement laxiste avec les sectes. Le discours de la France, à travers la Miviludes n'est pas bien vu, mais il est courageux. LES SECTES SONT UN PROBLEME EN FRANCE, CAR ELLES ONT DEVELOPPE DES RESEAUX DANS UNE MULTITUDE DE SECTEURS : - la formation (en entreprise, notamment) - la maintenance informatique - les agences immobilières - la santé - l'alphabétisation - l'humanitaire - la vente multiniveaux - le procédé des "faux souvenirs induits " généré par des "thérapeutes " - le bien-être - le développement personnel - la psychothérapie - la culture… LA RELIGION N'A RIEN A VOIR LA-DEDANS... LES SECTES SONT UN PROBLEME EN France, CAR LES DERIVES SECTAIRES SONT UN DEFI POSE A LA DEMOCRATIE ET AUX DROITS DE L'HOMME. LA SECTE CONTEMPORAINE, à l'inverse de celles que qualifiait MAX WEBER au XIXème siècle, NE RELEVE PAS DU DOMAINE RELIGIEUX. On estime à 60 % de l'activité globale des SECTES dans des domaines EXTRA RELIGIEUX, notamment dans le domaine de la santé, souvent avec un mode de fonctionnement pyramidal et monolithique (rigide). Placer les sectes au niveau des croyances, c'est faire le jeu des sectes et conduire notre société à la ruine La confusion entretenue par les sectes intoxique non seulement les citoyens, mais les dirigeants. Quand les fondateurs de SECTICIDE rencontrait Mme C… A… chercheur au CNRS, N°2 du MANDAROM, en 1995, sur le plateau de télévision animé par Christophe Dechavanne, l'adepte ne justifiait pas son engagement dans la secte par une croyance, mais elle disait : " Si vous pouviez voir le regard de B. (le gourou de la secte), il vous subjugue, vous pénètre et l'effet se fait sentir même à distance ". Magnétisée par ce regard, l'adepte écoute et reproduit tous les discours de B... quels qu'ils soient Elle est sous emprise : elle n'adhère pas à une croyance! LE REGARD DE B… !! Ainsi la liberté religieuse n'a AUCUN RAPPORT avec le problème des sectes. Il ne s'agit pas, en France, de s'en prendre à la liberté de conscience ou de stigmatiser des courants de pensée (la liberté d'opinion est un principe constitutionnel) il s'agit de combattre des FAITS illégaux, des ACTIONS (que les sectes tentent PARFOIS de justifier sous prétexte de croyances). Défendre les droits de l'homme, ce n'est pas attenter à la liberté religieuse, c'est tout le contraire CONCLUSION Il est important que tout citoyen, et davantage encore les dirigeants de notre pays soient INFORMES de l'existence d'un phénomène qui concerne à la fois les Etats et les personnes, mettant en danger les VALEURS fondatrices de l'équilibre de nos sociétés. Il est vain de s'attarder sur la définition de " SECTE ", le terme étant polysémique, et a réalité sectaire étant un phénomène évolutif dans l'Histoire de Humanité. serait gravissime de penser que le traitement de la question sectaire dépende du religieux, car c'est ce vers quoi les sectes désirent déplacer le débat espérant ainsi pouvoir bénéficier d'une modification de la loi de 1905 et être ainsi dispensées d'impôt. Il est important de différencier une religion d'un mouvement qui porte préjudice à a population. S'atteler au problème des DERIVES SECTAIRES, c'est identifier en quoi les ACTIVITES de certains organismes (quels que soient leur appellation ou leur statut) peuvent devenir un danger pour l'individu, une menace juridique et politique pour les valeurs européennes notamment la démocratie et les droits de l'Homme. Pour terminer, saluons l'arrivée à la tête de la Miviludes ce 23 septembre 2008 de Georges FENECH, ancien magistrat, qui a présidé la commission d'enquête sur les sectes et les mineurs en 2006 et avait été chargé par le Premier ministre, en avril 2008, d'une mission d'évaluation sur la "justice face aux dérives sectaires ". La Présidente de SECTICIDE, Lucienne de BOUVIER de CACHARD
Un compte-rendu de la conférence du professeur Philippe-Jean PARQUET sera mis en place ultérieurement |
SECTICIDE - ASSEMBLEE GENERALE DU 16 MARS 2007
RAPPORT MORAL
Le groupe d'études sur les sectes de l'Assemblée nationale se réunissait le jeudi 30mars 2006 au château de Saint-Priest,
à l'invitation de sa vice-présidente, la députée Martine David, maire de la commune. L'association SECTICIDE,
en la personne de sa Trésorière Michèle de BOUVIER de CACHARD participait à ses travaux sur le thème retenu les enfants dans les sectes.
Il s'en est suivi l'ouverture d'une Commission Parlementaire sur "les mineurs, victimes des dérives sectaires", dont le Rapport a été déposé devant l'Assemblée Nationale le 19 décembre 2006, avec un titre significatif, "L'enfance volée, les mineurs victimes des sectes ", révélant que des dizaines de milliers de mineurs sont actuellement "en situation de danger" du fait de l'activité des sectes, pointant du doigt les " négligences " des pouvoirs publics, voire les "complaisances " de l'Administration à l'égard des dérives sectaires. Population vulnérable, les mineurs exposés aux dérives sectaires sont privés de leur enfance du fait de l'endoctrinement, des conditions de vie précaires, du manque de suivi médical, de la scolarisation hasardeuse. Sont signalées certaines communautés où les enfants des adeptes sont soumis à l'enfermement et vivent dans la crainte du monde extérieur, si bien qu'ils sont incapables de s'y adapter s'ils décident de quitter la secte. Les membres de la commission estiment que le contrôle de la scolarisation de ces enfants n'analyse pas les "conditions d'épanouissement de la personnalité ni la préparation à la citoyenneté ". Ils s'alarment du manque de contrôle des organismes privés de soutien scolaire, dans lesquels peuvent se glisser des prosélytes. Ils veulent aussi que soit sanctionné le refus de vaccination et que le refus de transfusion sanguine ne soit plus possible. Ils s'étonnent du flou qui entoure la profession de psychothérapeute, faute d'un décret d'application, laissant le champ libre aux gourous. Le Rapport Parlementaire dénonce également le risque sectaire lié àl'utilisation de certains produits, classés ou non comme stupéfiants. Déjà mis en exergue par le Rapport de 1995, ce phénomène a pris une ampleur considérable ; notamment avec la présentation par des groupes néochamanistes de méthodes exotiques aux vertus dites thérapeutiques, en vue d'entrer en contact avec un univers parallèle ou de "faire renaître l'homme nouveau ". C'est souvent par Internet que sont vantés des produits sans garantie d'aucun contrôle médical, scientifique ou psychologique et que sont proposés des stages ou cures de désintoxications (alcool, tabac, dragues...) assortis de voyages en Amérique du Sud (Pérou), en Afrique et prises de breuvages à base de plantes hallucinogènes, comme l'ayahuasca (classé au tableau R des stupéfiants en France et interdit d'utilisation sur notre territoire ; l'iboga, dont la vente et l'utilisation sont interdites aux Etats-Unis, en Suisse, en Belgique). Après la prise de ces substances, il est très facile de faire ce que l'on veut à celui qui l'a ingérée, et ainsi de fidéliser au sein d'une communauté, le stagiaire après l'abandon de ses projets initiaux et la coupure avec son milieu familial. Le Ministère de la Santé indique qu'une enquête nationale sur les plantes hallucinogènes et les dérives sectaires sera programmée prochainement. Le Rapport annuel de la Miviludes (Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires) déposé entre les mains du Premier ministre en décembre 2006 souligne que les sectes sont une menace toujours plus présente en France mais qu'elles deviennent de plus en plus difficiles à combattre car elles adoptent de nouvelles formes et envahissent d'autres domaines que la spiritualité. Gare aux stages " bidons " Les NOUVELLES sectes ne s'organisent plus forcément autour d'un gourou elles recrutent de plus en plus leurs adeptes par l'intermédiaire de STAGES DE FORMATION PROFESSIONNELLE, d'ATELIERS DE DEVELOPPEMENT PERSONNEL et autres THERAPIES stages d'autoguérison et de biomagnétiseurs, propositions de formations de réorientation professionnelle, avec la promesse de "renaissance de l'individu" pour une société en renouveau. Le marché de la formation professionnelle serait devenu un champ miné. La Miviludes s'inquiète : "Le détournement des objectifs de la formation professionnelle peut conduire notamment, par des procédés de séduction, à des actes ou des pratiques illicites". Le rapport dénonce particulièrement les formations de santé "alternative" proposée aux particuliers aussi bien qu'aux professionnels, ainsi les stages pour devenir " DOULA", approche contre ta médicalisation de la grossesse, qui peut empiéter sur les compétences de professions de santé (sages-femmes, etc.). Le paysage est trop mouvant pour que les organismes et formations "à risque" soient listés - d'autre part, ce ne sont pas les méthodes ("analyse transactionnelle" "rebirth" "kinésiologie" "EMF balancing Technique ou meilleure utilisation de l'énergie") qui sont en cause, mais les interprétations qui en sont faites. Les dérives sont courantes dans les groupes de sexothérapie et de coachings. La Miviludes met encore en garde face aux risques d'ordre financier, de déstabilisation des salariés, de modification de comportements ou de risque d'infiltration (détournements de données et d'informations stratégiques) lorsque des prestataires de services ou Formateurs appartiennent à des mouvements caractérisés comme sectaires. La sécurité de certaines entreprises serait ainsi en danger, avec "des syndicats et salariés confrontés à des situations qu'ils ne comprennent pas " La prévention consiste à suivre l'actualité juridique de l'organisme de formation et à demander aux intervenants de fournir un diplôme reconnu par l'éducation nationale, et à bien définir, dans un cahier des charges précis ce que l'on attend de a prestation. Le premier rempart face à ces risques reste l'information et la vigilance ne pas s'engager aveuglément dans une formation, garder toujours un oeil critique sur les méthodes employées et veiller à préserver sa liberté face à un paysage sectaire qui se modifie, évolue, s'adapte en fonction des modes et des engouements passagers afin de paraître "respectable" et d'accrocher des adeptes. C'est tous ensemble, Pouvoirs Publics et Citoyens que nous devons veiller à préserver la dignité de l'Humain en nous. Rendons hommage à tous ceux qui exercent un travail de salubrité publique auquel l'Association Secticide est fière de participer, notamment par ses liens avec les Cellules de Vigilance mises en place par les Préfets de Meurthe et Moselle, de Meuse, de Moselle et formons le voeu que ces structures perdurent et que soient maintenues et renforcées les conditions requises pour leur fonctionnement effectif.
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* Destruction de a CELLULE FAMILIALE ~ Divorce I Séparation ~ Enfant élevé par la communauté ~ Enfant envoyé à l'étranger
Absence de REPERES FAMILIAUX
Atteinte à l'égard de la FAMILLE ELARGIE et de la SOCIETE
Atteintes au développement psycho-affectif
Atteintes au développement moral et intellectuel |
Difficultés de la lutte contre les dérives sectaires d'après l'ouvrage " Etudes réunsies par Nicolas GUILLET ", édit. L'Harmattan (fèv 2007)
La dangerosité sectaire se niche dans la cellule familiale : c'est là que les victimes sont les plus nombreuses. |
Mission interministérielle de vigilance et de lufte contre les dérives sectaires (MIVILUDES)
CREATION
Décret N0 2002 - 1392 du 28 novembre 2002 Art. 1er - Il est institué, auprès du Premier ministre, une mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires.
Un président
Six missions ont été définies par le décret institutif du 28 novembre 2002 1. Observer et analyser le phénomène des mouvements à caractère sectaire dont les agissements sont attentatoires aux droits de l'homme et aux libertés fondamentales ou constituent une menace à l'ordre public ou sont contraires aux lois et règlements.
2. Favoriser, dans le respect des libertés publiques, la coordination de action préventive et répressive des pouvoirs publics à l'encontre de ces agissements. 3. Développer l'échange des informations entre les services publics sur les pratiques administratives dans le domaine de la lutte contre les dérives sectaires. 4. Contribuer à l'information et à la formation des agents publics. 5. Informer le public sur les risques, et le cas échéant, les dangers, auxquels les dérives sectaires l'exposent et faciliter la mise en oeuvre d'actions d'aide aux victimes de ces dérives. 6. Participer aux travaux relatifs aux questions relevant de sa compétence menés par le ministère des affaires étrangères dans le champ international. |
NATHALIE GETTLIFFE
Lettres de prison Les autorités de la Colombie-Britannique lui avaient interdit de quitter le territoire avec ses deux enfants.
Seulement ces enfants étaient en danger, prisonniers dune secte dont son ex-mari canadien fait partie depuis plusieurs années.
Alors Nathalie Gettiiffe, une jeune Française de 35 ans, s'est enfuie avec eux dans son pays natal. Donc elle a bafoué la loi.
Mais est-ce une raison pour la traiter comme une dangereuse criminelle ?
Au fil des lettres qu'elle a envoyées à ses proches et que présente ici son nouveau compagnon, on découvre peu à peu
le traquenard dans lequel elle est tombée. Arrestation dès qu'elle pose le pied à Vancouver où elle était censée venir
signer un protocole d'accord. Incarcération dans des conditions abominables, sans égards pour la santé du bébé qu'elle attend.
Omniprésence de la secte dans les coulisses des prétoires et de la presse, refus de mise en liberté provisoire.
Au terme d'un procès prévu en novembre 2006, Nathalie Gettliffe risque... dix ans de prison.
Mais elle continue de lutter, et de demander qu'on lui vienne en aide. Ces lettres sont aussi publiées dans ce but.
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Exposé de Jean-Daniel - Intervenant
DEFINITION d'une SECTE (COERCITIVE) > "Une secte est un groupement qui poursuit des activités ayant pour but ou pour effet de créer, de maintenir ou d'exploiter la sujétion psychologique ou physique des personnes, par l'exercice de pressions graves ou réitérées ou de techniques propres a altérer le jugement (des personnes) pour les conduire à un acte ou une abstention qui leur sont gravement préjudiciables" Dictionnaire de la Culture Juridique, p.401
SECTE (coercitive) : Autre définition... "Une secte (coercitive) est un groupe, constitué à l'origine sous l'autorité, la direction, l'influence, la domination d'un maître, d'un "dirigeant de droit ou de fait" communément appelé 'gourou', qui, par l'emploi de "manoeuvres frauduleuses, promesses, menaces, abus d'autorité ou de pouvoir, machination ou artifices, utilisation de techniques de conditionnement ou de contrainte morale, de vulnérabilité, de dépendance et de complicité" fait perdre à ses adeptes tout esprit critique et tout libre arbitre en ce qui concerne les méthodes et les pratiques de la secte. Bref un groupe qui utilise des procédés répréhensibles dans un but d'aliénation des adeptes à des fins financières ou commerciales". (Réf : Procès de la Scientologie. Lyon, 1996).
Départ et objectifs d'une secte coercitive Création de la secte coercitive
Objectifs les plus fréquents
DOCTRINE DE SECTE COERCITIVE
- " Une escroquerie intellectuelle, morale et financière" -
A l'inverse des institutions, la doctrine d'une secte coercitive est toujours trompeuse. Elle a 2 volets :
- une analyse critique de la société et de la façon de vivre, flattant l'opinion du futur membre - un projet de vie ou d'action (écologique, humanitaire, spirituel, santé, formation professionnelle développement personnel, etc.) - une croyance supérieure (que le principe de laïcité ne juge pas) - la panoplie secrète des techniques de soumission et de maintien en ignorance des adeptes - le sens tronqué des mots et des expressions (en particulier sur la réalité du projet de vie) - les buts réels du fondateur, à l'opposé du but annoncé (dans le sens commun des mots). Exemples : " Prôner la liberté et le développement personnel,- tout en imposant secret et coercîtion " Prôner amour, paix et sacrifice, amasser des fortunes et créer des usines d'armement " Prôner l'amour et la compassion,- tout en prostituant les adeptes " Prôner la liberté et la démocratie,- but en développant un pouvoir totalitaire " Promettre une vie meilleure,- tout en ruinant les finances et la santé des adeptes Clé de voûte de la soumission des adeptes, la doctrine sectaire peut entraîner de graves dérives AIDER LA FAMILLE D'UN ADEPTE
Une famille qui s'inquiète et veut agir ne doit pas se sentir coupable : - le problème ne vient pas d'une faute d'éducation (chacun peut en faire), mais de la secte, de sa doctrine trompeuse, de l'application de ses techniques de contrôle mental créant une situation de quasi non-retour - l'adepte et sa famille sont des victimes (de même que les autres adeptes, " ange-gardiens" inclus) - la culpabilité et l'angoisse sont anti-performantes. L'observation et la réflexion critique sont essentielles - la famille doit s'armer psychologiquement dans la durée. Noter les mots et réactions de l'adepte. - elle doit se préparer à une répartition des rôles (face à une organisation structurée) - éviter les situations de coupure avec l'adepte, les discussions conflictuelles, l'emploi du mot "secte" - éviter tout stress lorsque l'adepte ne se sent pas bien psychologiquement (risque de réaction psychotique) - communiquer avec la personne réelle qu'il a été : les deux personnalités apparaissent alternativement. Son changement d'attitude instantané peut être déclenché par un mot une sensation, une émotion. - à trouver les aides utiles (ancien adepte, corps médical, association connaissant la secte, affaires familiales, services sociaux, aide à l'enfance, police, gendarmerie, etc. - à répartir rôles et actions, face à une organisation, à une doctrine trompeuse et un adepte convaincu - à attaquer la secte (signalement, dépôt de plainte, médias), en cas de faits illégaux ou amoraux, précis et avérés. Procès après réflexion : des sectes abandonnent les adeptes qui leur posent problème. AIDER UN ADEPTE DE SECTE
(" exit councelling ", ou conseil pour en sortir)
TERRAINS DE CHASSE DES SECTES
partout où l'expérience et le rationnel s'arrêtent
en apportant de fausses réponses à de vraies questions
Chaque secte a ses spécialités.
TOUTES ONT UNE APPROCHE PARTICULIERE DE LA SANTE |
A. D. F. I.
NORD - PAS DE CALAIS - PICARDIE
Association pour la Défense des Familles et de l'individu Décembre 2006 Commission d'Enquête Parlementaire sur les sectes et les mineurs Le nouveau "dérapage " des témoins de Jéhovah. Affolée d'être sous les feux des projecteurs, l'organisation des témoins de Jéhovah. reconnue première secte en France, n'en finit plus d'essayer de nous la jouer modeste. Ainsi vient-elle d'intervenir auprès de la commission des lois de l'Assemblée Nationale pour se plaindre d'avoir été trop souvent citée au cours des auditions publiques de la commission d'enquête sur les sectes et les mineurs. Elle est pourtant, et à l'évidence, concernée au premier chef par les travaux de cette commission qui rendra prochainement ses conclusions. Une intervention qui révèle une organisation aux abois et incapable de réagir autrement que par le mensonge et la (tentative de) manipulation. Le mensonge ? Ainsi décime-t-elle maintenant 250.000 fidèles. C'est nouveau puisque auparavant elle n'en décomptait qu'environ 100.000 (guère actifs ! ) et environ 100.000 "sympathisants " (introuvables d'ailleurs) Ainsi déclare-t-elle encore un objet prétendument cultuel appuyé sur une décision banalement fiscale du Conseil d'Etat de 2000 contredite depuis par deux arrêts de Cassation de 2003 et 2004. Deux décisions qui s'opposent aujourd'hui au maintien des exonérations fiscales trop rapidement accordées aux 900 associations locales de témoins de Jéhovah. La (tentative de) manipulation 7 Ainsi nie-t-elle tout en bloc tout en cherchant par des digressions fiscalo-cultuelles à détourner l'attention de la réalité des faits, des drames et des souffrances qui ont été exposés au grand jour, sans haine et sans crainte, devant la commission parlementaire Une commission parlementaire qui n'a fait que renvoyer à l'organisation des témoins de Jéhovah, comme un miroir le ferait, l'image désolante de ce que vivent au quotidien les enfants, les femmes et les hommes qui ont ou ont eu à en connaître ! laquelle plutôt que de s'interroger ou de s'amender, chercher à briser le miroir. C'est pitoyable ! A suivre, jusqu'au prochain " dérapage "… |
L'ADFI Nord Pas de Calais Picardie communique :
Mercredi 11 octobre 2006, l'ADFI devait tenir une conférence de presse ayant pour but de faire un point d'actualité sur les dérives sectaires dans notre région.
A la surprise générale, sans que l'ADFI ne soit préalablement prévenue, un huissier est alors intervenu pour tenter de filmer l'intégralité des propos et prendre l'identité exacte de tous les participants. Cet huissier était mandaté par un juge d'instance suite aux demandes conjointes de " l'association du mouvement du GRAAL en France " - mouvement répertorié comme secte par un rapport parlementaire -, et de Monsieur GUENIOT Gérard (médecin récemment condamné pour " non-assistance à personne en danger ", condamnation dont il a fait appel). D'un commun accord, la Présidente de l'ADFI ainsi que les victimes présentes pour témoigner ont alors décidé d'ajourner la conférence de presse. En effet, face à cette tentative d'enregistrement intégral par voie d'huissier, les victimes craignaient à juste titre qu'il soit porté atteinte à leur droit à l'image et que le procédé employé ne soit un moyen particulièrement pernicieux pour chercher à instruire contre elles de nouvelles procédures en diffamation. D'ailleurs, certaines d'entre elles subissent déjà des plaintes et ce pour avoir simplement osé témoigner des souffrances qu'elles endurent . L'ADFI s'indigne face à ce que l'on peut légitimement assimiler à une tentative d'intimidation. Il est particulièrement scandaleux que certains puissent dans notre démocratie ainsi instrumentaliser la justice pour tenter de faire taire les victimes. Il est justement paradoxal que ce soit par le biais de la loi sur la liberté de la presse, et sur décision d'un juge censé être le défenseur des libertés publiques que l'on réussisse ainsi, à faire peur et à confisquer la parole des victimes. L'ADFI demande solennellement à être soutenue par les pouvoirs politiques car cette situation est inacceptable. La loi est faite pour protéger les victimes, pas pour les intimider ! Vous pouvez toujours joindre Charline DELPORTE au 06.08.35.09.58 |
COMMUNIQUE de l'ADFI Nord - Pas de Calais - Juin 2006 A LENS, OUI A LA FETE A BOLLAERT, NON A LA SECTE ! Voici un mois, nous avons appris par hasard que : Bollaert reçoit les 21, 22 et 23 juillet 2006 20.000 adeptes d'une secte apocalyptique. Une manifestation qui sera, selon la secte, précédée d'une campagne " sans précédent " au nord de Paris dans les lieux publics, marchés et au porte-à-porte du 1er juillet jusqu'au " final " les 21, 22 et 23 juillet à Bollaert.
ADFI NPdCP - Juin 2006 Tél. : 03.20.57.26.77.
Nous avons exprimé notre totale désapprobation au nouveau Préfet du Pas-de-Calais garant de l'Ordre public, au Maire de Lens, propriétaire de Bollaert, au Président du Racing-Club, locataire de Bollaert et signataire du contrat de sous-location passé avec la secte pour deux tribunes les 21, 22 et 23 juillet. Ils ne peuvent, disent-ils, rien faire ! Il est clair que dans cette affaire les intérêts marchands priment sur toute considération morale. Le Racing-Club a-t-il exigé de la secte, comme il est d'usage pour l'utilisation privée d'équipements publics, une déclaration attestant qu'elle a satisfait à ses obligations sociales et fiscales ?. A-t-il alors appris que la secte, définitivement condamnée à verser 45 millions d'euros au Trésor Public, n'est toujours pas libérée de son énorme dette fiscale ?. Mais que fait-on surtout pour les personnes et les familles dont la vie a basculé à cause de la secte et pour qui la manifestation sectaire des 21, 22 et 23 juillet est une provocation ? Et cela pour de l'argent ? Et d'où vient cet argent ? Nous invitons tous les citoyens attachés au respect des droits de l'homme à exprimer par tout moyen leur désapprobation ; c'est pourquoi nous vous demandons de bien vouloir diffuser largement cet appel. Mieux vaut prévenir que guérir. L'ADFI tiendra à Bollaert le 3 juillet 2006 à 10 heures une conférence de presse (non publique) pour exprimer sa désapprobation et faire de nouvelles révélations sur la secte que Bollaert accueille les 21, 22 et 23 juillet. |
LETTRE DE SOUTIEN Mesdames et Messieurs,
Comme vous le savez suite au tract que nous vous
avons envoyé, une secte sera présente au stade Bollaert les 21, 22 et 23
juillet 2006 pour un rassemblement aux allures, au sens commun du terme,
de "provocation".
Nous, l'ADFI et les familles que nous aidons et soutenons et parce qu'elles ont eu à en souffrir, dénonçons depuis des années la dangerosité de cette secte. Nous organisons une conférence de presse le lundi 3 juillet 2006 à 10 heures au stade Bollaert pour exprimer notre désarroi et notre tristesse de constater qu’un tel rassemblement puisse avoir lieu , alors que nous sommes en pleine période de football et donc en période de fête. A l’inverse, pas de fête pour la secte et ses membres, "esclaves fidèles et avisés", tous abusés de bonne foi. Pouvez-vous vous mobiliser vous aussi en nous envoyant rapidement une lettre ou un mail de soutien, afin de nous aider à pousser toujours plus fort le cri de la liberté ? D'avance merci Cordialement. La Présidente de l'ADFI Nord Pas de Calais Picardie Charline DELPORTE |
Création d'une commission d'enquête sur sectes
Assemblée-sectes-religion Création d'une commission d'enquête sur sectes : vote à l'Assemblée mercredi
PARIS - Les députés examineront mercredi matin un proposition de résolution visant à créer une commission d'enquête sur l'influence des sectes sur les mineurs, a-t-on appris mardi à l'issue de la conférence des présidents de l'Assemblée nationale. La création de cette commission d'enquête, relative à "l'influence des mouvements à caractère sectaire et aux conséquences de leurs pratiques sur la santé physique et mentale des mineurs", devrait être adoptée à l'unanimité des partis. La première réunion de cette commission devrait avoir lieu dès jeudi à 09h30, les groupes politique désirant aller vite sur cette question, a-t-on appris de source parlementaire. La présidence de la commission sera attribuée à un membre du PS et le poste de rapporteur à l'UMP. Cette proposition de création initiée par cinq députés, Philippe Vuilque (PS), Martine David (PS), Georges Fenech (UMP), Jean-Pierre Brard (app. PCF) et Alain Gest (UMP), a été signée par 129 députés de tous les groupes. "Les organismes sectaires tentent désormais de contourner la loi par de prétendus enseignements à distance, des cours de soutien scolaire échappant aux contrôles", explique l'exposé du texte proposant la commission d'enquête. "La commission d'enquête aura pour objectif de mettre en exergue la dangerosité de certaines pratiques néfastes à la santé physique et mentale des enfants, ainsi qu'à leur épanouissement. Elle devra faire des propositions concrètes afin de lutter plus efficacement contre ces situations inacceptables", poursuit le texte. Deux commissions d'enquête sur les sectes s'étaient déjà constituées sous les deux précédentes législatures et avaient rendu des rapports en décembre 1995 et en juin 1999.
N0 3107
ASSEMBLÉE NATIONALE
PROPOSITION DE RESOLUTION tendant à la création d'une commission d'enquête
relative à l'influence des mouvements à caractère sectaire
et aux conséquences de leurs pratiques
sur la santé physique et mentale des mineurs,
(Renvoyée à la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l'administration générale de la République, à défaut de constitution d'une commission spéciale dans les délais prévus parles articles 30 et 31 du Règlement)
PRESENTEE
PAR MM. PHILIPPE VUILQUE, JEAN-PIERRE BRARD, Mme MARTINE DAVID, MM. GEORGES
FENECH, MARCEL DEHOUX, JACQUES DESALLANGRE, FRANCIS HILLMEYER, JACQUES
MYARD, Etric RAOULT, RUDY SALLES, PHILIPPE VITEL, JEAN-PIERRE ABELIN, Mme PATRICIA
ADAM, MM. RENE ANDRE, JEAN-PAUL BACQUET, CLAUPE BARTOLONE, CHRISTIAN
BATAILLE, JEAN-CLAUDE BEAUCHAUD, PATRICK BEAUDOUIN, JEAN-CLAUDE BEAULIEU,
JEAN-MICHEL BERTRAND, JEAN-LOUIS BIANCO, JEAN-MARIE BINETRUY, JEAN-PIERRE BLAZY,
SERGE BLISKO, PATRICK BLOCHE, JACQUES BOBE, JEAN-CLAUDE BOIS, DANIEL BOISSERJE,
AUGUSTIN BONREPAUX, JEAN-MICHEL BOUCHERON, PIERRE BOURGUIGNON, Mmes JOSIANE
BOYCE, FRANÇOISE BRANGET, MARTINE CARRILLON-COUVREUR,
MM. ROLAND CHASSAIN, PHILIPPE COCHET, PIERRE COHEN, Mme GENEVIEVE COLOT,
MM. LOUIS COSYNS, JEAN-YvES COUSIN, Mme CLAUDE DARCIAUX, MM OLIVIER
DASSAULT, MICHEL DASSEUX, LUCLEN DEGAUCHY, LEONCE DEPREZ, BERNARD DEROSIER,
MICHEL DESTOT, DOMINIQUE DORD, FRANÇOIS DOSE, JULIEN DRAY, PHILLIPPE DUBOURO,
JEAN-PIERRE DUFAU, WILLIAM DUMAS, YVES DURAND, Mme ODETTE DURIEZ, MM. PHILIPPE
EDMOND-MARIETTE, CLAUDE EViN, PIERRE-LOUIS FAGNIEZ, PHILIPPE FENEUIL, JEAN-MICHEL FERRANT), Mme CECILE GALLEZ, MM. RENE GALY-DEJEAN, DAMEL GARD, JEAN-JACQUES GAULTIER, Mmes NATHALIE GAUTIER, CATHERIINE GÈNISSON, MM. ALAIN GEST,
JEAN-MARIE GEVEAUX, GEORGES GINESTA, CLAUDE GOASOUEN, JACQUES GODFRAIN,
Mme PAULETTE GUINCHARD, MM. MICHEL HEINRICH, LAURENT HÊNARI, MICHEL
HERBILLON, SEBASTIEN HUYGHE, Mme MUGUETTE JACQUAINT, MM. ÉDoUARD JACQUE,
ÉRIC JALTON, ARMAND JUNG, CHRISTIAN KERT, PATRICK LABAUNE, JEAN LAIJNAY, JEAN-YVES LE DEAUT, BRUNO LE ROUX, Mme MARYLISE LEBRANCHU, MM. MICHEL LEFAIT,
PATRICK LEMASLE, FRANÇOIS LiBERTI, BERNARD MADRELLE, RICHARD MALLIÉ, JEAN
MARSAUDON, Mme HENRIETTE MARTINEZ, MM. CHRISTOPHE MASSE, DIDIER MATHUS,
CHRISTIAN MENARD, KLEBER MESQUIDA, PIERRE MICAUX, DIDIER MIGAUD, Mme HELENE
MIGNON, MM. ÉTIENNE MOURRUT, ALAIN NERI, MICHEL PAJON, Mme VALERIE PECRESSE,
M JEAN-CLAUDE PEREZ, Mmes MARJE-FRANÇOISE PÉROL-DUMONT, BERENGERE POLETTI,
MM. DIDIER QUENT1N, PAUL QUILÊS, JEAN-FRANÇOIS REGERE, JACQUES REMILLER,
Mme JULIANA BIMANE, M. JEROME RIVIÉRE, Mme CHANTAL ROBIN-RODRIGO,
MM. FRANÇOIS ROCHEBLOiNE, SERGE ROQUES, JEAN-MARC ROUBAUD, MAx ROUSTAN,
FRANÇOIS SAUVADET, MICHEL SORDI, ALAIN SUGUENOT, PASCAL TERRASSE, PHILIPPE
TOURTELIER, Mme LILIANE VAG1NAY, MM. DANIEL VAILLANT, MICHEL VERGNIER, ALAIN
VIDALIES et MICHEL ZUMKELLER
PROPOSITION DE RESOLUTION
EXPOSÉ DES MOTIFS
MESDAMES, MESSIEURS, |
TEMOIGNAGE
Question 1 : on dit que les sectes s'attaquent à des personnes faibles, en difficultés.
Les autres se croient à l'abri de l'emprise des sectes.
Réponse : c'est faux. - La secte a exercé son emprise sur ma fille qui a eu une enfance et une scolarité tout à fait équilibrées. C'était une élève brillante. - Nous sommes une famille tout à fait classique : j'ai un métier, je travaille je suis marié, j'ai 3 enfants : 2 garçons et 1 fille.
Question 2 : comment ma fille a-t-elle été en contact avec une secte ?
Question 3 : Comment et pourquoi avons-nous été alertés ?
Question 4 : Comment j'ai réussi à la sortir de là ?
Question 5 : Comment j'ai eu la confirmation que le groupe était bien une
secte ?
Question 6 : Ma fille a-t-elle eu des séquelles de ce passage dans la secte ? CONCLUSION Ces techniques manipulatoires, destructrices de la personne et de la famille, on les retrouve, sous des formes différentes, dans les sectes répertoriées comme dangereuses dans le Rapport Parlementaire Français de 1995. |
SECTICIDE
Association Loi 1901 fondée en 1994, ayant pour objet l'information, la protection, la défense des intérêts matériels, moraux et généraux des personnes et des familles dont les droits fondamentaux sont menacés par les méthodes et actions totalitaires propres à certaines sectes, a proposé le MARDI 27 JUILLET 2004 AU PALAIS DES CONGRES, rue Jean Jaurès ROCHEFORT-SUR-MER - 17300 UNE CONFERENCE - DEBAT sur le thème : LES SECTES VOUS TROMPENT animée par des intervenants spécialisés.
Pour toute information :
Association SECTICIDE - 4 allée du Dieu du Trice, 55100 VERDUN Tél./Fax : 03.29.86.30.32. courriel : secticide@orange.fr site internet : http://perso.orange.fr/secticide contact à Rochefort-sur-Mer en juillet 2004 : Mmes de Bouvier Tél. : 05.46.99.30.98. responsables de l'Association SECTICIDE, partenaire de cellules de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires mises en place par les Préfectures. |
Dixième anniversaire
A l'occasion du dixième anniversaire de sa création, l'association Secticide a organisé une
conférence-débat ouverte à tous, sur le thème : SECTES et SPIRITUALITE A 21 heures : Conférence-débat animée par Yves GERARD, prêtre catholique, spécialisé dans
l'étude du phénomène sectaire, sure le thème : SECTES et SPIRITUALITE
Les échanges se poursuivront ensuite autour du traditionnel gâteau d'anniversaire. |
INFORMATION
Fidèle à la vocation qu'elle s'est donnée de suivre l'évolution du phénomène sectaire dans le monde
d'aujourd'hui et d'en tenir informée la population, l'association SECTICIDE a participé au DEBAT
organisé par les journalistes de FR3, sur le thème : " Les nouvelles croyances ", qui sera retransmis
le jeudi 20 novembre 2003 à 23 heures, dans l'émission mensuelle de FR3 " Débats en région ", à
la suite du film retenu dans le cadre du thème retenu.
Participaient à ce DEBAT : L'Association SECTICIDE est un partenaire de la cellule de Vigilance mise en place par le Préfet de NANCY : son action est nationale et s'étend jusqu'aux pays frontaliers du Nord et de l'Est de la France.
L'Association " SECTICIDE " fêtera le dixième anniversaire de sa fondation le 19 mars 2004, à l'hôtel des Société, rue Président Poincaré à Verdun 55100, à partir de 20H15, à l'occasion de son Assemblée générale. |
COORDINATION NATIONALE DES VICTIMES DE L'ORGANISATION DES TEMOINS DE JEHOVAH Association de fait, créée le 10 janvier 1995, apolitique, aconfessionnelle,
la Coordination Nationale des Victimes de l'Organisation des Témoins de Jéhovah appelle toutes les personnes concernées à la rejoindre. CNVOTJ Contact : Charline Delporte : 19, place Sébastopol 59 000 LILLE 03 20 57 26 77
La Coordination Nationale des Victimes de l'Organisation des Témoins de Jéhovah
communique : " RENDONS GLOIRE AUX VICTIMES DE JEHOVAH ! "
L'organisation des Témoins de Jéhovah en France, filiale de la secte américaine
éponyme basée à Brooklyn tient à grand frais du 4 juillet au 3 août 2003
pas moins de 30 meetings de 3 jours chacun, dans 17 Villes françaises. Si "Jéhovah" n'est plus une
marque déposée depuis la décision de justice du 8 avril 2003 on remarque dans le même temps que :
JEHOVAH PAR SON ORGANISATION POURSUIT SES ACTIVITES DE CULTE-BUSINESS EN TOUTE IMPUNITE Nullement inquiétée, la multinationale du marketing spirituel n'hésite pas à faire étalage de sa colossale puissance financière sans apparemment se décider à s'acquitter de sa dette fiscale de 45 Millions d'Euros. Mieux encore l'organisation jéhoviste fait preuve d'une extraordinaire arrogance de comportement à l'égard notamment des milliers de victimes dupées par son marketing agressif et son prosélytisme trompeur : " Des victimes ? Il n'y a pas de victimes ! " 53 000 VICTIMES EN 12 ANS Cependant, d'après les informations de cette organisation elle-même, et les chiffres qu'elle publie, plus de 53 000 personnes ont ainsi été piégées en moins de 12 ans dans son univers cauchemardesque avant de se réveiller et de la quitter et n'ayant plus alors que leurs yeux pour pleurer. 53 000 victimes ! 53 000 citoyens dupés ? est-ce quantité négligeable ? Non ! C'est même intolérable ! C'est pourquoi, à nouveau, la Coordination en appelle aux pouvoirs publics et aux autorités pour faire cesser ces provocations annuelles qui mettent en péril la paix publique, et demande solennellement qu'il soit mis fin à cette sorte " d'autorisation de prélèvement ", tacite et honteuse, donnée à cette organisation consistant à lui permettre de prélever annuellement 5000 personnes dans la population française pour en faire de nouveaux esclaves heureux qui sacrifient leur vie au prosélytisme jéhoviste. 5000 personnes sacrifiées pour que les exactions se poursuivent. 5000 victimes immanquablement pressurées puis rejetées et même menacées d'acharnement judiciaire dans le cas ou elles oseraient protester et parler de ce qu'elles ont subi dans l'arrière boutique de l'organisation des Témoins de Jéhovah.
UNE ORGANISATION QUI CACHE LA VERITE : CELLE DE SA DANGEROSITE |